Tableau François GALL Portrait de femme Huile toile Rare qualité et références

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Huile sur toile 2eme moitié du XXe s. François Gall, patronyme francisé de Gáll Ferenc, né le 22 mars 1912 à Cluj-Napoca et mort le 9 décembre 1987 à Paris, est un peintre français d’origine hongroise- Tres nombreuses références. La première exposition de ses uvres est organisée par sa ville natale en 1932, la deuxième à la Galerie nationale d’art moderne et contemporain. De Rome, où il présente ses nombreux sujets sociaux. En 1936, il s’inscrit à l’École des beaux-arts. Dans les ateliers de Charles Guérin. Et d’André Devambez. Il rencontre d’autres artistes comme Christian Bérard. Se lie d’amitié avec les pêcheurs des quais de Seine, les bouquinistes qui l’aident à apprendre le français à travers les versifications de Victor Hugo. La famille Gavillon avec laquelle il échange pains et gâteaux contre des tableaux. Heureux dans ce pays de liberté tant rêvé, il arpente Paris de Montmartre à Montparnasse, en passant par les quais et les grands boulevards. À la recherche de nouveaux sujets. C’est l’animation de cette vie parisienne qu’il va présenter avec succès à l’été 1937 à la galerie Szalmasy de Budapest. En 1947, année de la crise du pain, sa toile. Du pain pour le peuple. Salon des artistes français. Reçoit la médaille d’or. Ministre de la Jeunesse, des Arts et des Lettres. Cette année-là est également marquée par sa participation à une importante exposition collective à la galerie Debussy à Paris, en compagnie de. C’est à la galerie Barreiro que François Gall se lie d’amitié avec le peintre Moïse Kisling. Qui souhaite réaliser le portrait de son épouse, mais celle-ci ne posera que pour son époux, lequel connaît désormais une renommée croissante en Suisse, en Angleterre et en Scandinavie. En 1946, il rejoint son ami G. De Marco au groupe de l’Art libre. Il reçoit la médaille d’argent au Salon des artistes français pour sa toile L’Exode? Celle du Pont Saint-Michel en automne figurant à sa première exposition personnelle parisienne à la galerie Alexandre, et celle de Honfleur à la galerie Saint-Philippe du Roule sont acquises par l’État français. Il est naturalisé français cette même année 1949, et obtient une exposition personnelle à la galerie Durand-Ruel. Où l’une de ses toiles, Le Port d’Honfleur. Est acquise par l’État. La Marlborough Fine Art Gallery de Londres. Rassemble une trentaine de ses uvres qui remportent un grand succès. Il est félicité par le peintre André Dunoyer de Segonzac. La même galerie présentera ses Paysages de France en 1951. Dès le début des années 1950, expositions et voyages se multiplient à travers la France et le monde, notamment en Belgique, aux États-Unis où l’artiste est également pressenti pour jouer le rôle d’Édouard Manet. Au cinéma, mais sa participation à d’autres expositions l’en empêche : La semaine française en Suède, où il se lie d’amitié avec Maurice Chevalier. Dont il réalise croquis et portraits, le Mexique, et Israël. Puis les ports et les plages l’attirent, il s’y rend durant les vacances scolaires avec sa famille qu’il fait poser, avant de retrouver la maison de ses beaux-parents à Martel. Et le paysage des Causses alentour. En 1954, la famille Gall fait l’acquisition de la maison avec atelier auprès de la veuve du peintre Jules-Émile Zingg. Participant chaque année à Paris au Salon des peintres témoins de leur temps. Le prix Francis Smith. Lui est décerné en 1963, au musée Galliéra. Ce qui lui permet d’effectuer un voyage d’études au Portugal. Il en revient émerveillé et riche d’une quantité de toiles lumineuses et colorées, exposées à la Casa du Portugal à Paris. Artiste de plus en plus reconnu, François Gall devient lauréat de l’Institut de France. Et ses uvres font l’objet d’expositions, dès la fin des années 1960, tant en France qu’à l’étranger. Elles le conduisent en Italie, à Rome, Florence, Venise, en Allemagne, en Suisse où il expose en permanence à Berne, Neuchâtel et Bevaix, puis en Corse, Autriche, Espagne, Russie, Canada à la Dominion Gallery de Max Stern, lequel découvre les premiers faux tableaux de l’artiste en provenance des pays de l’Est, notamment la Roumanie. Portraitiste reconnu, il travaille, entre autres portraits, à ceux d’Édith Piaf. Ou de Roland Dorgelès. (exposé au Salon des indépendants et acquis par l’État français). Au fil des ans, il en était devenu l’ami et le lecteur assidu. Officier de l’ordre des Arts et des Lettres. Membre de diverses commissions, notamment celle des artistes au ministère de la Culture, et administrateur de l’ADAGP. Il se dépense sans compter pour la cause des artistes en diverses activités associatives. Les uvres de François Gall sont exposées à Paris chez Durand Ruel, Bernheim-Jeune, André Weil, la fondation René Duckermann, Wally Findlay, en province à Deauville, Trouville, au Grenier à Sel de Honfleur, La Rochelle, Bordeaux, Arcachon, Nice, Cannes etc. Élu vice-président de la Société des artistes indépendants en 1977, il devient président du Syndicat national des artistes peintres et sculpteurs professionnels en 1987, année de sa mort. Parmi les nombreuses critiques d’art consacrées aux uvres de François Gall, figurent notamment le commentaire de Maximilien Gauthier. Dans Les Nouvelles Littéraires. Du 29 mars 1962. « Ses jardins du Luxembourg, ses terrasses de café, ses bals du 14 juillet résonnent, tout vivant, le charme de Paris ». Celui d’André Weber. Dans L’Amateur d’Art. Du 10 avril 1964. « Point de débauche de couleurs, aucune tonitruance, mais un doux concerto équilibré et harmonieux. Avec des nuances, des finesses, des préciosités de palette, bref un raffinement inouï. De la très bonne peinture et d’excellentes gouaches ». Celui de Daniel Israel-Mayer dans Arts en août 1963. « Parmi ce que l’on est convenu d’appeler les Peintres Témoins de leur Temps, François Gall est particulièrement séduisant par la délicatesse distinguée de ses peintures. Dimensions : 24×19,5 cm. Vendu avec un cadre moderne. Etat: Tres bon état, rentoilage. Tres belle facture comme à l’habitude avec ce peintre dont la cote se maintient. L’item « Tableau François GALL Portrait de femme Huile toile Rare qualité et références » est en vente depuis le jeudi 10 juin 2021. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Peintures ». Le vendeur est « artcadre76″ et est localisé à/en Saint saens. Cet article peut être livré partout dans le monde.
  • Type: Huile
  • Caractéristiques: Encadré

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