PEINTRE DE GRANDE REFERENCE. RARE PEINTURE ABSTRACTION GEOMETRIQUE. ACRYLIQUE SUR TOILE MONTEE SUR CHASSIS DE BOIS SIGNEE ET DATEE 1973. DIMENSION DE L’OEUVRE 67 X 38 CM. Jean Legros baigne dès l’enfance dans un univers artistique: les amitiés de son père, chef de bureau au Ministère des finances, se nomment entre autres André Derain. Si ses études l’orientent vers une licence de philosophie et un diplôme de l’Institut de psychologie de l’université Paris Descartes. Si après la Seconde Guerre mondiale. Frère aîné de Lucien Legros, l’un des cinq Martyrs du lycée Buffon. Il rejoint la Résistance. Et est arrêté, il passe un C. De berger et se consacre à ce métier pendant un an, il revient à la vocation de peintre, à laquelle l’avaient encouragé Paul Éluard. Pour, s’installant alors au 83, rue Daguerre. S’y liant d’amitié avec une co-habitante, la cinéaste Agnès Varda. , participer aux salons parisiens à partir de 1947 avec une peinture encore figurative. Professeur de dessin à Paris, passant ses étés en Touraine où les paysages resteront sa source d’inspiration essentielle de la décennie 1950, il n’en poursuit pas moins, en 1949, sa formation auprès de Jean Dewasne. De son union avec Micheline Tieffry, native de Chalo-Saint-Mars. Naît sa fille Marie en 1952. Le tableau que Jean Legros peint en 1956 et qu’il intitule La fenêtre est vu par Jean-Pierre Delarge comme annonciateur de l’abstraction géométrique minimale qui va dominer son uvre. C’est en Touraine, confirment Jacques Busse et Alain Gründ. Que Jean Legros semble s’orienter vers l’abstraction. Après sa seconde exposition à la Galerie Simone Heller, en 1956, il renonce aux expositions pour, dans une période solitaire de douze années il s’installe en 1958 à Léouville. Pendant cette phase de recherches dans différentes directions, on remarque déjà la présence de peintures incluant des bandes, alors sans rigueur géométrique spéciale, comme générées par la seule sensibilité, mais surtout on est frappé par la subtilité chromatique qu’il développe à ce moment, comme pour concilier Bonnard. Et une formulation abstraite déjà austère. En 1973, s’ouvre pour Jean Legros, résidant désormais rue de la Vanne à Montrouge. La période de l’abstraction colorée purement géométrique. Les couleurs, tantôt statiques ou tantôt dynamiques, qui s’allient ou au contraire glissent et se percutent, « se mettent en lumière », selon sa propre expression. Ce sont alors, de 1973 à 1981, les séries des Toiles à bandes , des Espaces biais , des Oiseaux-nuages , des Ronds musicaux , des Carrés tensifs , des Circuits colorés. D’un tempérament solitaire, en réalité jamais consolé de l’immense chagrin que fut en 1943 la perte du jeune frère adoré ce qu’en psychologue il appelait. L’angoisse du survivant. , Jean Legros n’a pas supporté de croire en l’incompréhension de son temps : malgré de vraies amitiés intellectuelles Aurélie Nemours. , il n’a pas cru percevoir la large reconnaissance qui eût été pour lui la juste consécration d’une vie de recherches rigoureuses et d’une uvre exigeante. Il n’a pas su attendre. L’artiste, dont plus tard Roger Leloup affirmera. Qu’il demeure en France ce qu’est Barnett Newman. Choisit de quitter ce monde. Dont les paysages l’ont inspiré, Jean Legros repose au cimetière de Léouville. L’item « JEAN LEGROS (1917-1981) RARE PEINTURE SUR TOILE ABSTRACTION GEOMETRIQUE 1974″ est en vente depuis le lundi 25 mai 2020. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Peintures ». Le vendeur est « minedart » et est localisé à/en Haguenau. Cet article peut être livré partout dans le monde.