Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris

Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris

Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris
Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris
Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris
Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris

Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris
Grande et magnifique huile sur toile. Signée en bas à droite. Contresignée et titrée au dos. 93 x 130 cm. Very big and Beautiful Oil on board. Handsigned on lower right. Countrehandsigned and titled on back. 36.6″ x 51.2″ in. D’après Wikipédia Biographie. Philippe Cara Costea, né le 16 septembre 1925 à Méréville (ex Seine-et-Oise), et mort le 31 décembre 20061, est un peintre, lithographe et sculpteur français. Formation Né d’un père roumain et d’une mère française, Philippe Cara Costea fait ses études secondaires au collège Stanislas à Paris avant d’entrer à l’École des beaux-arts de Paris, puis à l’Académie de la Grande Chaumière, dans l’atelier d’Émile Othon Friesz. En 1947, il part à Tahiti sur les traces de Paul Gauguin, en compagnie de son ami avec qui il fréquenta le collège Stanislas, le peintre Philippe Lejeune qui deviendra le fondateur de l’École d’Étampes. Il obtient une bourse d’État en 1955. En plus de nombreuses expositions en France, il est aussi présent à l’étranger : Lausanne, Tunis, New York Coliseum, San Francisco, Cologne, Bruxelles. Il est sociétaire de tous les grands salons nationaux : Salon d’automne, Salon des artistes français, Salon de la Société nationale des beaux-arts, Salon d’Angers, Salon du dessin et de la peinture à l’eau, Salon de la Jeune Peinture, Salon Comparaisons, etc. Distinctions Il obtient le prix du Club du tableau, la médaille d’or au Salon des artistes français (1978, 1988), le prix de l’Académie des beaux-arts (1988), le grand prix Beaudry (Fondation Taylor, 1996), et la médaille d’or du Salon de Montmorency (1983). Son uvre Peintre et sculpteur extrêmement productif, on retiendra principalement ses Verdures, ses Marines, ses Groupes où il s’est souvent lui-même représenté, ses Orchestres inspirés par un ami violoniste dans un grand orchestre français, ses Cathédrales, avec principalement Sainte-Croix d’Orléans, ses Nus féminins en peinture et en sérigraphie, lithographie et pastel. Dans le domaine de la sérigraphie, Cara-Costea initie et organise, au sein de l’association d’artistes Jeune Peinture, la publication sous le titre de Sérigraphies originales d’une suite de cinq numéros (tirages limités et exemplaires numérotés) qui paraissent entre 1949 et 1953, chaque numéro étant créé sur un thème, soit successivement: Io, la vierge à cornes de vache, Les mères, Job, Autoportraits, et La mort. À Cara-Costea, chef de file de cette publication bibliophilique5, se joignent Paul Aïzpiri, Nicolas Carrega, Roger Chastel, Antoni Clavé, Paul Collomb, Gabriel Dauchot, Édouard Goerg, Jean Jansem, Philippe Lejeune, Bernard Lorjou, André Minaux, Orlando Pelayo, Paul Rebeyrolle, Gaëtan de Rosnay, Claude Rderer, Claude Schurr, Jean Souverbie et Jacques Yankel6. En tant que lithographe, Cara-Costea illustre l’ouvrage de poèmes Belle chair d’Émile Verhaeren. Son travail en sculpture comprend de nombreux nus féminins, en bois et plâtre, en particulier une femme accouchant seule, et surtout une tête d’enfant en bronze. Enfin, il a réalisé quatre uvres monumentales pour sa ville de Méréville : Pour le collège Hubert Robert de Méréville, un bas-relief de 1976 représente un groupe d’enfants jouant, en creux sur le mur d’enceinte, face au cimetière où il repose. Pour l’église Saint-Pierre-ès-Liens de Méréville, il réalise en 1970 la grande croix de six mètres sculptée en creux dans un tronc d’Iroko de plus d’une tonne. Dans cette même église, quatorze vitraux semi-circulaires représentant la vie du Christ (inspirés des Mystères du Rosaire). Les deux premiers furent réalisés en 1942 sous l’Occupation et sans l’aide d’un atelier. Le reste de l’uvre (1998) suivit l’installation de la grande croix, réalisée après l’incendie de 1959 qui nécessita la restauration de l’édifice roman. Les quatorze stations du Chemin de Croix en « négatif » c’est à dire en creux sur une plaque d’acier (inspirés de la Passion du Vendredi Saint), ont été achevés après sa mort par les amis de l’association qu’il avait fondée en 1990. Ces uvres pour Méréville illustrent la théorie de l’artiste : créer une uvre en négatif-positif qui génère l’image au lieu de la reproduire, à un moment donné, comme le photographe arrête le temps le temps d’un déclic. Expositions personnelles Galerie Drouant-David, 19509. Galerie Paul Vallotton, Lausanne, 1952. Galerie Carlier, Paris, 1953. Galerie Suillerot, Paris, 1953. Galerie Monique de Groote, Paris, 1953. Galerie Jean-Claude Bellier, Paris, juin-juillet 1961, juin-juillet 1963, 1966, 1968, 1969, 1974. Galerie Gmurazynka, Cologne, 1967. Galerie Isy Brachot, Bruxelles, 1969. Festival d’Étampes, Hôtel Anne-de-Pisseleu, mai-juin 1970. Galerie Musson, Orléans, 1971. Galerie Traiz, Versailles, mars 1977. Galerie Helios, Paris, 1978. Galerie Ventadour, Saint-Émilion, 1979. Musée d’Étampes, 1984. Galerie d’art de la place Beauvau, Paris, février-mars 1983, 1987, mars 1991, janvier-février 1995. Musée municipal d’Étampes, décembre 1984 – Février 1985. Galerie Atelier 33, Bordeaux, 1985. Galerie L’Art ancien, Orléans, juin 1989. Galerie Présences, Bruxelles, novembre 1989. Galerie de l’Ancien Courrier, mai-juin 1991. Galerie Florence Basset, Flassans-sur-Issole, septembre-octobre 1995. Expositions collectives Salon de la Jeune Peinture, 1950, 1955. Salon d’automne, 1955, 1963, 1965, 1967, 1970, 1971, 1972, 1973, 1975, 1977, 1978, 1979, 1980, 1981, 1982, 1983, 1984, 1985, 1986, 1987, 1988, 1990, 199110. Dix-huit peintres du sixième Salon de la Jeune Peinture (1955), Galerie Marlborough Fine Art Ltd, Old Bond Street, Londres, janvier-février 1956. Philippe Cara Costea, Hélène Azenor, Galerie Sélection, Tunis, janvier 1957. Philippe Cara Costea, Jean Joyet, André La Vernède, Galerie Norval, Paris, 1959. French modern figurative art, New York Coliseum, 1959. Five masters of the School of Paris, avec Philippe Cara Costea, Michel de Gallard, Pierre Garcia-Fons, Robert Savary, International Galleries, Chicago, 1959. Aspects of the School of Paris: Duilio Barnabé, Philippe Cara-Costea, Antoni Clavé, Roger Lersy, National Galleries, Chicago, septembre-octobre 1960. Souvenir de Corot – André Dunoyer de Segonzac, Richard Bellias, Philippe Cara Costea, André Dignimont, Jacques Van den Bussche, Maison des enfants, Viroflay, 1961. L’art et la médecine vus par vingt-quatre peintres – Jean Aujame, Yves Brayer, Louis Berthomme Saint-André, Philippe Cara Costea, Jean Carzou, Roger Chapelain-Midy, Michel Ciry, Pierre Clayette, Jean Cocteau, Paul Collomb, Édouard Goerg, François Heaulmé, Jean Jansem, Georges Rohner, Henry de Waroquier, Gabriel Zendel… Galerie Dulac, Paris, From Géricault to our time, San Francisco, 1966. Voyages – Salon des prix nationaux et des boursiers de l’État, Musée d’art moderne de la ville de Paris, mai 1966. Peintures modernes: Bernard Buffet, Philippe Cara Costea, Jean Commère, Paul Guiramand, Jean Jansem, André Marchand, André Minaux, Georges Rohner, Claude Weisbuch, Hôtel historique de François Ier, Orléans, décembre 1976. Galerie Marcel Billy, La Baule, 1989, 1990. Cara Costea peint la musique, École de musique d’Étampes, novembre 1993. Art figuratif des années 50, Galerie d’art de la place Beauvau, 1994. Salon des artistes de Basse-Normandie, Hôtel de ville de Caen (Philippe Cara Costea invité d’honneur), octobre 1994. Exposition de groupe: Philippe Cara Costea, Simone Dat, Raymond Guerrier, François Heaulmé, Michel Thompson, Claude Venard, Galerie Florence Basset, Flassans-sur-Issole, septembre-novembre 1996. Florilège Taylor – Peinture, sculpture, gravure, Mairie du neuvième arrondissement de Paris, avril-mai 1998. Salon de printemps de la Société artistique de Dourdan, Centre culturel René-Cassin, Dourdan, 2004, 200511. Les insoumis de l’art moderne – Paris, les années 50, Musée Mendjisky-Écoles de Paris, Paris, octobre-décembre 2016. Philippe CaraCostea Hommage – Dix ans déjà! Centre Culturel de Méréville (son village natal), Place de la Halle, 91660 Méréville , septembre – décembre 2016 sam. Philippe Cara Costea nacido el 16 de septiembre de 1925 en Méréville (antigua Seine et Oise), muerto el 31 diciembre de 2006 en la clínica de Saclas, enterrado en Méréville es un pintor y escultor de origen francés. Rumano por parte de padre, francés por su madre, él se considera beauceron (Méréville) de nacimiento. Es el padre del autor de cómics Carabal autor de «Les gosses» de la Ed. Formación Realizó sus estudios de secundaria en el Collège Stanislas, para entrar después en la Escuela de Bellas Artes de París , la «Académie de la Grande Chaumière» (en el taller de Emile Othon Friesz). Viajó con 23 años (1947) a Tahití siguiendo los pasos de Gauguin, en compañía del amigo con el que frecuentaría el «Collège Stanislas» de París, el pintor Philippe Lejeune, quien sería el fundador de la «Ecole d’Étampes». Obtuvo una beca nacional en 1955. Fue asociado de todos los grandes salones nacionales: «Automne», «Artistes Français», «National des Beaux-Arts», Angers, «Dessin et Peinture à l’eau», la «Jeune Peinture», «Comparaisons», etc. Premio del «Club du Tableau», medalla de oro del Salón de los artistas franceses, premio de la Academia de Bellas Artes, Gran premio Beaudry (Fondation Taylor)… Son algunas de las condecoraciones que ha ganado este artista. Numerosos museos en Francia y en el extranjero conservan sus obras, especialmente el Museo de Arte Moderno de Paris, el museo del The Art Institute of Chicago y la Biblioteca Nacional de Francia. Pintor y escultor extremadamente prolífico, se guardan principalmente sus Verdures , que aparecen en la foto; sus Marines ; sus Groupes , donde suele aparecer él mismo representado; sus Orchestres , inspiradas por un amigo violinista de una gran orquesta francesa; sus Cathédrales , donde destaca la Catedral de Orleans; sus Nus féminins , que contienen pinturas pero también serigrafías y pasteles, como la ilustración de una obra poética de Emile Verhaeren. Por otro lado realizó esculturas de numerosos desnudos femeninos, en madera y moldeado, en particular la de una mujer recostada sola. Y también un busto en bronce de un niño con una expresión angelical sobrecogedora. Finalmente, realizó cuatro obras monumentales para la ciudad de Méréville. Para el instituto Hubert Robert, creó un bajo relieve (1976) de un grupo de niños jugando, grabado en huecograbado sobre el muro del recinto (enfrente del cementerio donde está enterrado). Para la Iglesia de San Pedro ad Vincula de Méréville, esculpió en huecograbado la gran cruz de seis metros (1970) dentro de un tronco de iroko de más de una tonelada. Las vitrinas (14) semi-circulares representan la vida de Cristo (inspiradas en los Misterios del Rosario). Las dos primeras fueron realizadas a la edad de 17 años bajo la Ocupación y sin la ayuda de un taller. El resto de la obra (1998) surgió después de la instalación de la Gran Cruz, prioritaria después del incendio de 1959, origen de la restauración del edificio románico consagrado a San Pedro ad Vincula. LAlternative figurative ou la Jeune peinture. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les années 1950 en France sont caractérisées par lexpression dinterrogations existentielles, reflets de langoisse et des incertitudes dune humanité qui découvre létendue de lhorreur nazie, puis les désillusions de la guerre froide. Cette période révèle une nouvelle génération de peintres mûris précocement par les souffrances et les privations des années noires. Ils proposent une vision du monde où lHomme, et non lIdée, occupe une place centrale. Un demi-siècle a passé. Le temps est venu de rendre hommage à ces artistes, à ces collectionneurs, publics et privés, qui ont eu à cur de défendre une alternative figurative face à labstraction conquérante. Françoise Adnet, Paul Aïzpiri, Jean-Pierre Alaux, Guy Bardone, Richard Bellias, André Brasilier, Bernard Buffet, Jacques Busse, Jean-Marie Calmettes, Jean Chevolleau, Paul Collomb, Jean Commère, Jean Cortot, Daniel Dalmbert, Michel de Gallard, René Genis, Raymond Guerrier, Vincent Guignebert, Paul Guiramand, Camille Hilaire, Jean Jansem, Jacques Lagrange, Bernard Lorjou, Jean Marzelle, André Minaux, Marcel Mouly, Michel Patrix, Pierre-Henry , Jean Pollet, Raoul Pradier, Daniel Ravel, Paul Rebeyrolle, Claude Schürr, Michel Thompson, Maurice Verdier, Claude Weisbuch, Nouvelle Ecole de Paris. L’item « Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris » est en vente depuis le lundi 27 novembre 2017. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Peintures ». Le vendeur est « galerie_d.art » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.
  • Période: XXème et contemporain
  • Style: 1940-1960
  • Genre: Expressionnisme
  • Thème: Personnage
  • Type: Huile
  • Caractéristiques: Signé
  • Dimensions: 93 x 130 cm

Philippe CARA COSTEA (1925-2006) HsT Personnages Jeune peinture Ecole de Paris