Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles

Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles

Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles

Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles
Artprice, Drouot, Benezit, salle de ventes, Akoun. Très belle et grande. Technique mixte (huile, acrylique et encre) sur. Signée en bas à gauche. Datée et contresignée au dos. Imagine qu’il n’y ait ni pays, ni religion. 80 x 80 cm. Very nice large mixed media (Oil, Acrylic and Ink) on canvas. Handsigned on lower left. Dated and counter-handsigned on the back. Imagine there’s no countries, there’s no religion. 31.5″ x 31.5″ in. Jean VIRTUEL (1954) journaliste d’art, éditeur, directeur aristique, a accompagné le mouvement Street Art français dès ses débuts. Il se consacre aujourd’hui à son oeuvre entre deux séjours à l’étranger. Jean VIRTUAL (1954) art journalist, editor, art director, accompanied the French Street Art movement since its inception. He now focuses his work between two stays abroad. L’art urbain, ou street art1, est un mouvement artistique contemporain. Il regroupe toutes les formes dart réalisé dans la rue, ou dans des endroits publics, et englobe diverses techniques telles que le graffiti, la réclame, le pochoir, la mosaïque, le sticker, l’affichage voire le yarn bombing ou les installations. C’est principalement un art éphémère vu par un large public. La généalogie de l’art urbain est multiple et complexe. Il existe depuis les années 1960 une prise en compte de l’environnement urbain dans la création contemporaine. Allan Kaprow, un des premiers artistes à utiliser les installations, écrit que « L’art s’est déplacé de l’objet spécialisé en galerie vers l’environnement urbain réel ». En France, les années 1960 voient également des expérimentations d’intégration de l’art dans la ville. L’une des premières expériences est l’organisation d’un symposium international de sculpture, en 1968 à Grenoble, qui impulse la création de dizaines d’uvres dans la ville, dont celles de Mizui, Victor Vasarely, Calder En 1972, à Villeneuve de Grenoble, des plasticiens sont contactés pour participer à la conception du volume de la galerie de l’Arlequin. Des contacts sont pris avec Jean Dewasne, mais la tentative tourne court. La décoration est finalement confiée à Henri Ciriani et Borja Huidobro. Une fresque est réalisée sur la nouvelle bourse du travail par Ernest Pignon-Ernest, considéré comme l’un des précurseurs de l’art urbain. D’autres expériences sont imaginées dans les villes nouvelles, comme à Évry, en 1972, et à Marne-la-Vallée. L’art urbain en tant qu’initiative individuelle commence à s’épanouir en France à partir de Mai 1968. L’art urbain puise ses origines dans des disciplines graphiques aussi variées que la bande dessinée ou l’affiche. Selon Alain Weill, spécialiste de l’affiche, l’essence de l’art urbain contemporain se retrouve tant dans les uvres des affichistes d’après-guerre comme. Raymond Savignac, en France, que dans celles des dessinateurs de la contre-culture américaine tels Robert Crumb ou Vaughn Bodé, tous deux figures de proue du comics underground depuis les années 1960. Chronologie 1963 : premières peintures éphémères de Gérard Zlotykamien ; 1963 : pochoir d’Ernest Pignon Ernest sur le plateau d’albion (Vaucluse) en réaction à la force de frappe nucléaire française ; 1968 : recherche artistique dans les affiches à caractère politique de l’« Atelier populaire ex École des Beaux-Arts », dans le cadre de la contestation de Mai 68 ; 1971 : les gisants de la Commune de Paris par Ernest Pignon Ernest ; 1974 : la station de métro Hankar à Bruxelles, Notre temps, Roger Somville ; 1980 : premiers subway drawings de Keith Haring dans le métro de New York, sur les panneaux publicitaires vacants plutôt que sur le matériel roulant comme le faisaient déjà les writers ; 1981 : Premières interventions de Rafael Gray (parfois orthographié Raphael) et Richard Hambleton ; Fin 1981, première intervention de Blek le rat ; 1982 : rencontre de Jean Gabaret et Michel Espagnon dans les catacombes de Paris : leurs fresques sont signées « Vive La Peinture », préfiguration du groupe VLP (Vive La Peinture) ; Arrivée à Paris de Bando (source à croiser) ; Jef Aérosol peint son premier pochoir à Tours ; Formation du groupe Banlieue-Banlieue et premières interventions dans la rue ; Juin 1982, première intervention de Daniel Baugeste ; 1983 : Speedy Graphito / X Moulinex, et date à laquelle Olivier Rizzo commence à peindre sous le nom de Speedy Graphito ; Janvier 1983, premières traces-empreintes de Jérôme Mesnager ; Septembre 1983, première intervention de Costa dans le métro ; Mai 1984 : les Frères Ripoulin (avec, entre autres, Claude Closky et Pierre Huygues) collent leurs premières peintures sur papier ; 1985 : Premiers pochoirs et affichages d´originaux des Nuklé-Art, Kim Prisu, Kriki, Etherno ; Mars 1985, première intervention de Miss. Tic ; L’affiche de La Ruée vers l’Art, sous l’initiative de Jack Lang, est signée Speedy Graphito ; Découverte du terrain vague de Stalingrad par Ash (Victor Ash) situé entre les stations de métro Stalingrad et La Chapelle à Paris, devenue un endroit clé pour le développement du graffiti à Paris et en Europe dans les années 1980 ; 1986 : parution du premier livre consacré au pochoir Vite Fait / Bien Fait éditions Alternatives. Le titre et le pochoir de couverture sont de Jef Aérosol ; 1986 : première exposition consacrée au pochoir, galerie du Jour Agnès B. À Paris ; 1986 : parution du livre Pochoir à la une d´après une idée originale du groupe Nuklé-Art et de la librairie Parallèle ; 1987 : Qu’est ce qu’un intellectuel, à Louvain La Neuve, Roger Somville ; 1987 : arrivée de Jonone à Paris ; 1988 : Premiers parcours de Moreje à Paris ; uvres d’Ernest Pignon-Ernest à Naples ; campagne Miss. Tic présidente 1989 : André invente son Monsieur A , 1990 : Kim Prisu et Vr (Hervé Morlay) vont peindre le mur de Berlin sur les 1 300 m qui restent côté est pour mémoire la East Side Gallery. Restaurée en 2009, Kim Prisu n’a pas voulu en faire une copie conforme de sa fresque de 1990 et en donne une autre version ; 1991 : mai, premier tag de la station de métro musée du Louvre à Paris. La RATP engage une campagne de nettoyage à grande échelle ; 1991 : décembre, premier soutien officiel du ministère de la Culture et de son ministre Jack Lang au mouvement « tag » avec l’organisation de l’exposition ART CO’91 à l’arche de la Défense à Puteaux, qui présente une performance artistique réalisée par les tagueurs Stem, no et Gary sur un mur géant de bidons ; 1992 : février, deuxième intervention de tag à la station de métro musée du Louvre à Paris, mise en cause de la politique de soutien au mouvement tag du ministère de la Culture ; Décennie 1990 : durant cette période, le devant de la scène est principalement occupé par le graffiti hip-hop. La propagation internationale se fait par la télévision ; Jérôme Mesnager rend compte de ses voyages en Afrique à Thierry Ardisson dans l’émission Lunettes noires pour nuits blanches en 1990. 12 février 1999 : première apparition télévisuelle de Space Invader lors d’une émission en clair sur Canal +, à laquelle participe également Miss. Ils envahissent conjointement la ville de Montpellier en août 1999. Avril 1999 : première réappropriation urbaine avec du cellophane industriel à Toulon par Cédric Bernadotte. Il propose des bancs et hamacs à destination du public au cur de la ville ; 2000 : Avril 2000 : les VLP collent pour la première fois leur Zuman Kojito ; Mai 2000, premières interventions sur Le MUR au no 107 rue Oberkampf à Paris ; Du 12 septembre au 28 septembre 2000 : exposition collective, manifeste du renouveau de l’art urbain parisien à l’espace Tiphaine-Bastille, no 8 passage de la Bonne-Graine (Paris 11e) réunissant Poch, Blek le Rat, Olivier Stak, HNT, André, Space Invader, Zevs, Sam Bern et RCF1 ; Plusieurs interventions urbaines de Cédric Bernadotte avec des structures gonflables bloquant des rues et des séries de bancs en scotch marron, cellophane transparent et noir à Montpellier, Aix-en-Provence et Marseille. John Hamon, dont le slogan est « C’est la promotion qui fait l’artiste ou le degré zéro de l’art », commence l’affichage de son portrait dans les rues de Paris18. Premier trimestre 2001 : publication en 1 500 exemplaires de la plaquette Souvenirs de Paris. Réunissant André, Blek, HNT, Sam Bern, Space-Invader, Olivier Stack et Zevs. Septembre 2001 : exposition « cuménique » de la galerie du jour agnès b. Qui concilie les tendances historiques (Futura 2000), « graffiti » (Jonone) et « post-graffiti », à l’époque sans titre, en hommage à la disparition de Dondi White19. Participent (liste exhaustive) : André, Aone, Victor Ash, JayOne, Skki, Fafi, Futura Jack 2, Jonone, l’Atlas, Mist, Moze, Os Gêmeos, O’clock, Psyckose, Space Invader, Zevs ; 2003 : Nathan Sawaya dispose son premier Hugman à New-York ; 22 février 2003 : ouverture par Space Invader de la galerie La Base 01, dans le 1er arrondissement de Paris ; Mars 2003 : première exposition parisienne de Shepard Fairey à la galerie La Base 01 à Paris. Malcolm McLaren, le manager des Sex Pistols, est présent lors du vernissage. La Base 01 accueille, cette même année, une autre exposition urbaine, The World of Kami, dédiée à l’artiste éponyme. 2007 : Graffiti Stories, présentée à l’abbaye d’Auberive, au musée Paul Valéry à Sète, et au musée international des arts modestes dans la même ville ; commissariat d’exposition : Hervé Di Rosa et Pascal Saumade20. Juillet 2009 : l’exposition Né dans la rue – Graffiti, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris, réunit les courants graffiti internationaux, les Américains vivant à Paris (comme Seen ou Jonone), des Européens (comme Boris Tellegen alias « Delta »), mais aussi des Brésiliens. Elle donne, par ailleurs, une carte blanche à l’association le M. Pour présenter une série d’affiches exposées dans la fondation puis sur le MUR. Y participent Fancie, Honet, Sun7, Alëxone, Poch, NP77, Chanoir (1980), RCF1, Jean Faucheur. La carte blanche s’achève par la résidence de trois semaines de Thom Thom qui travaille sur un double panneau installé par Clear Channel. Devant le succès de f. Réquentation, l’exposition est prolongée jusqu’au 7 janvier 2010. 15 décembre 2010 : sortie française du film de Banksy, Faites le mur! Où apparaît le personnage de Mr Brainwash. Banksy devient l’icône mondiale du street art et permet à cet art de prendre une vraie valeur marchande. Du 11 mai 2012 au 30 juin 2012 : exposition de la collection de Nicolas Laugero Lasserre dans le cadre du festival d’art urbain Artaq au Grand Théâtre d’Angers, avec des uvres de Dran, Shepard Fairey, Swoon, JR et Invader. Du 28 novembre 2012 au 30 mars 2013 : exposition Au-delà du street art au musée de la Poste à Paris, avec C215, Miss. Du 7 décembre 2012 au 1er septembre 2013 : exposition de graffiti Dans les entrailles du Palais secret au palais de Tokyo à Paris, organisé par Lek, Sowat, Dem189. Janvier-avril 2013 : résidences et créations aux Bains Douches en partenariat avec la galerie Magda Danysz et Jean-Pierre Marois, de l’Atlas, Gérard Zlotykamien, Sowat, Dem189, Sun7, Cédric Bernadotte, Psyckose, Space Invader, Jef Aérosol, Jérôme Mesnager, Jacques Villeglé, Futura 2000, Nasty, 9ème concept, Katre. Octobre 2013 : ouverture de la Tour Paris 13 à l’initiative de la galerie Itinerrance dans le cadre du. Parcours Street Art 13 en partenariat avec la mairie du 13e arrondissement de Paris, regroupant. Cent huit artistes de trente six nationalités différentes, ce fut alors la plus importante exposition collective d’art urbain en France. Octobre 2014 : la Nuit Blanche, imaginé par José-Manuel Gonçalvès, se parcourait au fil de sentiers de Grande randonnée artistique (GRA), dans le 13e arrondissement, autour de nombreux street artistes internationaux, dont Tristan Eaton, Mark Jenkins, l’Atlas, Cédric Bernadotte, Thomas Canto ou Jacques Villeglé. Style : Les artistes d’art urbain ont en commun une activité (légale ou non) d’intervention urbaine. La principale distinction avec le graffiti « traditionnel » (ou hip-hop, tel qu’il est né aux États-Unis), est que les artistes urbains n’ont pas systématiquement recours à la lettre (comme c’est le cas dans le writing américain) et à l’outil aérosol. Les buts sont variés : dans le cas du graffeur, il s’agit principalement d’apposer son nom ou « blaze » ; dans le cas du street art, il s’agit d’une image, d’une signature visuelle, quelle que soit la méthode. On peut citer les affiches peintes de Jean Faucheur, les sérigraphies d’Ernest Pignon-Ernest, les pochoirs de Miss. Tic ou de Jef Aérosol, les autocollants de Clet Abraham, les collages de Kim Prisu, petites peintures uniques sur divers support, les peintures au pinceau de Jérôme Mesnager, ou celles à l’aérosol de M. Chat, ou bien encore les photographies d’Antonio Gallego. D’autres sont motivés par l’expression de messages. Leurs intentions sont politiques comme les membres du groupe VLP (Vive La Peinture) qui collent l’image de leur Zuman Kojito dans les rues de Paris, surmonté de bulles lui faisant dire des phrases fondamentales du type : « J’existe », « Je résiste », « Je suis un morceau d’utopie », etc. Leur identité visuelle reste cependant bien reconnaissable. La plupart des artistes souhaitent avant tout s’exprimer et que leurs uvres soient vues par la foule des usagers de l’espace public qui finit par mémoriser ses signatures visuelles, leur permettant d’accéder à une forme de célébrité individuelle à laquelle ils aspirent le plus souvent. Il existe des exceptions. Yann Dumoget, par exemple, inverse la pratique du tag. Au lieu de réaliser des graffitis dans lespace public, il demande au public de « graffiter » lespace intime de ses propres peintures. D’autres, comme Cédric Bernadotte, questionnent l’espace public en proposant de se réapproprier un lieu avec des matériaux économiques et accessibles tels que le cellophane. Dans les mouvements récents on trouve le mélange du graffiti et de la vidéo ; ainsi le travail d’un artiste comme Blu qui fait de l’animation dans la rue. L’item « Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles » est en vente depuis le lundi 7 mars 2016. Il est dans la catégorie « Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Peintures ». Le vendeur est « paris*sur*lart » et est localisé à/en Paris. Cet article peut être expédié aux pays suivants: Amérique, Europe, Asie, Australie.
  • Type: Technique mixte
  • Période: XXème et contemporain
  • Genre: Street Art
  • Caractéristiques: Signé

Jean VIRTUEL (1954) HsT 2015 / STREET ART URBAIN John LENNON Imagine Beatles